Resumen:
Ce travail est né de la nécessité d’avoir des interprètes spécialisés pour aider les
personnes autochtones, qui se sont fait priver de leur liberté en raison du manque
d’accompagnement traductologique dans leurs processus judiciaires. Même si, la loi
garanti l’accompagnement d’un interprète qui connaisse la langue autochtone, les
traditions et les coutumes ; cette action reste malheureusement inefficace de nos
jours. Au Mexique, après une réforme de la Constitution en 2001 dans l’article 2, on
reconnaît que la création du pays est fondée sur ses communautés autochtones,
raison pour laquelle le Mexique est déclaré un pays pluriculturel et établi que les
langues autochtones ont la même valeur que l’Espagnol. À partir de 2003, les droits
linguistiques ont été implémentés dans la Ley General de Derechos Lingüísticos de
los Pueblos Indígenas (LGDLPI).